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Mon "jus de cul d'abeille"

7 septembre 2012

Armel et sa tenue de soirée !

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7 septembre 2012

FEIGNASSE !!!!!!

Regardons cela de manière positive : cette année, je vais économiser ! Il me reste un an pour trouver du bon matos d'extraction à pas trop cher puisque pour la récolte...bah...quelle récolte????

Nous sommes donc début septembre et c'est la mort dans l'âme (enfin, faut pas exagérer quand même!) que je me résigne à rentrer ma hausse. Il n'y aura pas de jus cul d'abeille cette année !!!

Maintenant j'espère juste que mon petit cheptel tiendra l'hiver !

 

21 août 2012

Quelques plantes mellifères dans mon jardin...

Il fait beau, ça me donne envie d'avoir un grand jardin ! Alors à défaut, voici une petite liste de ce qu'il serait bon d'avoir chez soi pour les petites butineuses ...

Mais d'abord, une plante mellifère, c'est quoi ?

 Entre 450 et 500 espèces indigènes en France sont dites mellifères, c’est à dire qu’elles offrent aux abeilles de quoi fabriquer du miel (qui est avant tout la nourriture de la colonie) : nectar, pollen, miellat… Toutes ne peuvent pas être butinées par les abeilles, car la morphologie de la fleur doit s’y prêter (il faut que l’abeille puisse atteindre le nectar ou le pollen).  Pour les papillons, encombrés de leurs ailes, c’est encore moins évident : les fleurs à large corolle sont les plus accessibles.

Plantes cultivées et décoratives

Plantes grimpantes

Plantes aromatiques

Fleurs sauvages

Arbres

  • Faux acacia ou robinier

    Bouleau (donne du pollen très tôt au printemps, lorsque les autres fleurs sont encore rares, ce qui aide au « démarrage » des colonies d’abeilles)
  • Marronnier d’Inde
  • Tilleul
  • Acacia ou robinier
  • Saule
  • Arbres fruitiers : cerisierpommierpoirierprunier

Arbustes

Tableau récapitulatif inspiré par Clémentine Desfemmes

Crédit photos : Flickr.com / arjuna zbycho ; tite elfe ; hjfklein ; fabdebaz ; peltierpatrick ; #annola ; Vestaligo.

 

 

21 août 2012

La médecine moderne s'intéresse aux vertus du miel

Les propriétés cicatrisantes et antiseptiques de ce produit naturel font l'objet d'un nombre croissant d'études.

 

«Hippocrate, le père de la médecine, disait que l'usage du miel conduisait à la plus extrême vieillesse, et le prescrivait pour combattre la fièvre, les blessures, les ulcères et les plaies purulentes», écrit Henri Joyeux dans son ouvrage Les abeilles et le chirurgien, paru le 26 avril aux Éditions du Rocher. Un livre qui invite à découvrir l'apithérapie ou l'art de soigner par les produits de la ruche. En effet, si l'usage médical du miel a traversé les siècles dans les pays de l'Est ou l'Afrique, ce n'est que récemment que les médecins français s'y sont intéressés.

«Actuellement, une masse croissante de travaux médicaux montrent non seulement que le miel est un produit efficace et sûr pour soigner les plaies, mais aussi un moyen intéressant et bon marché de lutter contre les germes devenus résistants aux antibiotiques, un problème majeur de santé public dans les pays à haut niveau sanitaire», explique le Dr Albert Becker, président de l'Association francophone d'apithérapie.

Un puissant antiseptique

«Une étude néerlandaise* a récemment fait état de la destruction de bactéries multirésistantes aux antibiotiques modernes, telles que Escherichia coli ou Staphylococcus aureus par l'ajout de 10 à 20% de miel à leur milieu de culture», précise Henri Joyeux. Des propriétés dues au travail de la ruche, véritable laboratoire miniature, qui transforme le nectar des fleurs en un produit aux propriétés complexes. «Les abeilles rapportent à la ruche le nectar, où elles le déshumidifient afin de le conserver, grâce à la trophallaxie. Cette opération consiste à régurgiter le nectar de leur jabot et à le passer de bouche en bouche. Grâce aux réactions chimiques qui se produisent alors avec les sécrétions des abeilles, il acquiert sa richesse enzymatique et son haut pouvoir antiseptique», explique Catherine Mme Ballot-Flurin, apicultrice.

Le caractère antiseptique du miel est ainsi lié d'une part à la présence de deux types de protéines: les inhibines qui inhibent la prolifération des bactéries et les défensines qui renforcent l'immunité. D'autre part, son fort taux de sucre, sa faible teneur en eau (15 à 18%) et son acidité créent des conditions inadaptées à la croissance des microbes.

Un bon cicatrisant

Il facilite enfin la cicatrisation grâce à une enzyme, la gluco-oxydase. Sécrétée par l'abeille, elle transforme une partie du glucose en peroxyde d'hydrogène, plus communément appelé eau oxygénée, qui détermine le pH acide du miel, hostile aux bactéries. L'eau oxygénée stimule la revascularisation des plaies et la formation de tissus, nécessaires à la cicatrisation.

En pansements normalisés ou étalé directement sur la plaie, le miel est utilisé actuellement dans plus de 20 centres hospitaliers français, selon le Pr Henri Joyeux. Ce dernier rappelle dans son ouvrage l'importance d'utiliser des miels médicaux ou issus de producteurs méticuleux respectant les normes de l'apithérapie, afin de conserver toutes les propriétés de ce produit fragile. «Il doit être stocké en pots de verre, conservés au frais à 8-14°C, hors lumière et moins de 15 mois car, contrairement au vin, le miel ne se bonifie pas en vieillissant!»

Enfin, si l'utilisation d'un miel adapté sur de petites plaies peut être envisagée à la maison, elle ne dispense pas «d'une consultation médicale qui s'avère une absolue nécessité en cas d'absence d'amélioration ou pour des lésions supérieures à 1cm», rappelle le Dr Albert Becker.

*PAULUS H. S. et coll How honey kills bacteria . FASEB J. 2010 24: 2576-2582.

Article publié sur le site "Ruche et Apiculture"

18 août 2012

Elles prennent des vacances ?

15 Août : Je reviens de vacances, je cours (roule) donc à mon rucher (enfin à ma ruche) tout de blanc revêtue... j'ouvre et ... rien !  il y a une petite dizaine d'abeilles dans la hausse qui ont l'air de se balader mais pas d'évolution. Déception ! Bah oui, je m'attendais à récolter (jubilation de débutant certainement). Alors, patience...

Autre petit problème : beaucoup de noyées dans le petit bac à eau posé devant la ruche. Conseil de papa : mettre une ou deux pierres dedans afin qu'elles puissent se poser et repartir sans soucis. Merki pôpô !

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18 août 2012

Oooooohhhhhhhh, Hausse !!!!!

Je la mets ou pas ?????? Comment peut-on être sûre que c'est le bon moment ??? Nous sommes fin juillet avec un début d'été pourri. Avec un peu de chance, août sera somptueux et les abeilles vont bien travailler... Après plusieurs conseils : attendre qu'il y ait une petite écume blanche sur le dessus des cadres (Jean Jacques), attendre qu'il y ait un gauffrage sur les 2 derniers cadres de l'extrémité de la ruche (Sébastien), ne pas trop attendre sinon risque d'essaimage (mon pessimisme).... zou, c'est parti !!!!!!!! Hausse posée ! y'a plus qu'à attendre en espérant ne pas avoir fait de boulette.

 

18 août 2012

Transfert...

Après quelques ouvertures, première décision : le transfert vers la grande maison!

L'essaim grossit bien. Les deux derniers cadres commencent à être complètement gaufrés. Je transfère donc les cadres de la ruchette dans la ruche.

A la fin de cette opération délicate, toutes les fesses sont en l'air... bon signe !!??

 

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18 août 2012

Première ouverture

Nous voici le 10 juin et je procède à la première ouverture de la ruchette :

Les provisions ont été mangées et l'évolution de l'essaim semble positive : 3 cadres sont bien remplis et 2 sont gaufrés. J'ai nourri l'essaim avec 100 g de miel.

18 août 2012

Mon premier essaim

Ayé, j'ai récupéré mon premier essaim le 31 mai 2012 chez un apiculteur du coin (merci Sébastien !)... Enfin "récupéré" (bien grand mot !). Ce passionné m'a bien mâché le travail. Nous avons transféré mes nouvelles copines dans ma ruchette vers 19h00. Ensuite ma "calm'itude" et moi même entrons en scène. Il est 22h30, je dois procéder au transfert mais cette fois sans l'aide de personne, et là les ennuis commencent... il faut retrouver la ruchette dans le petit bois en pleine campagne et surtout de nuit. C'est pas gagné !!! (d'autant que je m'étais déjà plantée en plein jour avec indications !! chuuuuuuuut...). Mais bon, mission accomplie, je charge dans mon beau camion et c'est parti pour une petite demi heure de route sur un air de Mano Solo (le kif !!!) . 23h30 arrivée à l'hotel 3 étoiles et installation avec le maître des lieux (mon frère ...merci!). Mes cop's sont maintenant installées dans un joli petit coin de verdure et attention, les oies montent la garde !!!

L'essaim a été nourri avec un pot de miel de 500 g (liquide); il se répartit sur 1 cadre + 2 cadres de hausse déjà gaufrés (petit mais costaud !!).

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Photo d'un essaim attrapé par Sébastien

18 août 2012

On butine ?

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Une nouvelle espèce...

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